La conscience du temps et les sciences cognitives

Les Cahiers Philosophiques de Strasbourg 38:17-45 (2015)
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Abstract

La reconnaissance accordée en sciences cognitives (Van Gelder et Varela) à l’analyse husserlienne du présent mental en termes de rétention et protension a manqué sa radicalité transcendantale, qui est aussi la limite de cette analyse. Si l’on recherche dans la subjectivité l’origine de notre sens du temps, il ne suffit pas de revenir au présent mental par réduction du temps objectif, il faut élargir aux aspects grammaticaux et aux rythmes biologiques l’éventail des moyens d’accès au temps d’un sujet incarné dans le monde de la vie.

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