Abstract
Prémisses Notre sujet est ce moment qui suit le conflit, que l’on nomme le plus souvent l’après-guerre, perçu comme moment problématique, comme processus toujours inachevé. Voilà pourquoi nous avons préféré renvoyer, par notre titre, non pas à un objet défini et délimité par un substantif (« l’après-guerre ») mais, justement, à un questionnement lié à un moment sans frontières avérées, à une « qualité des temps », comme aurait dit Machiavel. Après la guerre... donc. Nous n’entendons pas en ef...