Abstract
Notre étude part de l’hypothèse que l’analyse logique des valeurs spirituelles exige une forme particulière de l’identité, à savoir l’identité symbolique. Il est également considéré que la logique adéquate pour ce domaine est une forme de la logique partitive, où les opérations valablès sont l’opération de potentiation et l’opération de compénétration entre parties et entiers. La mereologie et l’holologie sont limitées, parce que elles n’expliquent pas la logique des opérations de potentiation et de compénétration. L’auteur, sur la base des suggestions du philosophe roumain Constantin Noica propose une nouvelle forme de la logique partitive – l’holomerie, cas dans l’auquel la partie a le pouvoir de l’entier. Un holomer est une partie qui est équipotent avec l’entier. Pour expliquer le fonctionnement des holomers s’utilise comme un outil logique les propriétés formelles de la relation de l’identité symbolique.