Abstract
Transcendance, ce concept évoque celui d’immanence. Malgré son étymologie, malgré cette relation avec son contraire, il prétend désigner non du relatif mais de l’absolu. Gomment est-il possible, sans rompre les attaches permettant à notre connaissance de concevoir le transcendant, d’affirmer légitimement la pureté de son essence et de son existence qui, par définition, sont incommensurables avec nous dans leur parfaite unité? Nous cherchons ici l’énoncé précis de la question et le mot de la réponse en indiquant aussi les répercussions vitales d’un tel problème spéculatif.