Abstract
There is a widespread assumption that Berkeley and Spinoza have little in common, even though early Jesuit critics in France often linked them. Later commentators have also recognized their similarities. My essay focuses on how Berkeley 's comments on the Arnauld-Malebranche debate regarding objective and formal reality and his treatment of god's creation of finite minds within the order of nature relate his theory of knowledge to his doctrine in a way similar to that of Spinoza. On estime souvent que Berkeley et Spinoza ont peu en commun, même si les premières critiques jésuites en France les ont souvent liés. D'autres commentateurs ont également reconnu leurs similitudes. Mon essai se concentre sur la manière dont 1 / les remarques de Berkeley sur la discussion entre Arnauld et Malebranche concernant la réalité objective et formelle et 2 / son traitement de la création par Dieu des esprits finis dans l'ordre de la nature mettent en relation sa théorie de la connaissance et sa doctrine de la liberté dans une manière semblable à celle de Spinoza