Abstract
Résumé Les discussions autour de George Berkeley rejettent souvent les remarques de ses Notebooks selon lesquelles (1) les corps sont des pouvoirs qui amènent les percepteurs à avoir des pensées et (2) les corps existent même lorsqu'ils ne sont pas perçus. J'ai déjà noté ces affirmations, mais je n'ai pas expliqué comment les corps sont infiniment liés en tant que pensées (à distinguer des idées), et Melissa Frankel traite les corps comme des archétypes perçus individuellement par Dieu, mais n'explique pas comment ils sont individués. Je soutiens que, parce que les corps identifient les objets uniquement pour des esprits finis, ils sont des pouvoirs dérivés par lesquels les objets individués sont liés les uns aux autres de manière infinie.