Abstract
En assumant didactiquement l’expérience de la philosophie comme amour du savoir absolu, et en l'envisageant ainsi comme principe de tout le savoir et de sa transmission, Marinho trouve dans l'inspiration le moteur de toute relation pedagogique, qui a son archétype dans la rencontre maître-disciple. De cette façon, la philosophie dépend moins d'un enseignement, en tant qu'agencement historique, culturel et institutionel du déjà pensé, que de l'initiation à la vérité intime à tout l'être humain, qu'il faut dévoiler par l'exercice toujours renouvelé de l'interrogation fondamentale.