Abstract
Une partie du populisme ambiant de notre société est entretenu et amplifié par les actuels dispositifs de mise en scène du débat public développés par les médias télévisuels, radiophoniques mais aussi, de plus en plus fréquemment, par la presse écrite. L’auteur, à la fois enseignant de journalisme et sénateur, décrit de l’intérieur quelles logiques excluent des circuits de communication les paroles qui permettraient de contrecarrer le discrédit dont souffre actuellement le spectacle politique.