Le stop motion : singularité cinématographique et alternative aux simulations en image de synthèse

Nouvelle Revue d'Esthétique 29 (1):39-47 (2022)
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Abstract

Chez Eisenstein on découvre comment dans le cinéma de prise de vues réelles, il est déjà possible de détourner un élément du représenté pour en faire le moyen d’une représentation qui le dépasse au point de lui être étranger, dans la mesure où il sert un propos tout autre que celui de son contexte d’origine. Dans le stop motion la mise en mouvement fondée sur un type de « montage » image par image permet non seulement de réanimer le monde, mais aussi de transfigurer les objets et leur matérialité même. L’adhésion au contenu profilmique ne concerne donc plus uniquement les contenus généraux et narratifs de la représentation (comme le lieu ou la temporalité), mais aussi la matérialité même des objets.

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