Abstract
During the last thirty years, both the mechanism and the vitalism has undergone remarkable changes. While the former, persisting in the strictly mechanistic thesis, has grown independent of its ancient antiteleological attitude, the latter, overcome as the doctrine of “entelechy”, has turned out fruitful owing to its other component, i.e. to the idea of autonomy of life. To-day, then, the contention takes place between two totally different points of view, between “machinism” and “autonomism”. Both interpretations of life are equally theories, and not descriptions of pure facts; both are, also, metaphysical thesis.Le mécanisme ainsi que le vitalisme a subi des changements remarquables pendant les trente années dernières. Alors que le premier, tout en restant fidèle à la thèse strictement „mécaniste”, est devenu indépendant de son attitude antifinaliste d'autrefois, le vitalisme, surmonté en tant que la doctrine sur l'entélechie, s'est montré fructueux par son autre composante, c'est-à-dire, par l'idée de l'autonomie de la vie. Ainsi, c'est le „machinisme” et l'„autonomisme”, revÊtu du holisme, qui sont en dispute aujourd'hui. Toutes les deux interprétations de la vie sont également des théories, et non pas des pures descriptions de faits; elles sont aussi, toutes deux des thèses métaphysiques