Abstract
Es wird vorgeschlagen, einen Begriff „Lebenslage“ in den Sozialwissenschaften zu verwenden, der nicht nur „Wohnung“, „Nahrung“, „Kleidung“ und andere Teile des „Realeinkommens“ umfasst, sondern auch „Mortalität“, „Morbidität“ usw. Die gesamte „Lebensstimmung“ einer Person hängt von der Gesamtheit der Lebenslagenteile ab, von der Morbidität ebenso wie von der Wohnung. Ob man die Lebens-Stimmung in „positive“ und „negative“ Elemente zerlegen kann, die man einzelnen Elementen der Lebenslage zuordnet, ist eine offene Frage.Die wissenschaftliche Praxis geht am besten von „Lebenslagenphysiognomien“ (Lebenslagensilhouetten) aus, die durch verschiedenartig gemessene und skalierte Grössen gebildet werden. Wenn man die Lebenslagen einzelner Personen oder ganzer Länder auch nicht stets „skalierend“ zu vergleichen vermag, so kann man sie doch immer beschreiben. Geht man daran, „Lebenslagenkataster“ (Lebenslageninventare) verschiedener Völker und Zeiten aufzustellen, so muss man beachten, dass die Lebensstimmung eines Menschen nicht etwa schon durch die Garten fläche gekennzeichnet wird, die ihm zur Verfügung steht ; man muss angeben, über wieviel Freizeit er verfügt, um die Gartenfläche zu benutzen.Man kann Gesellschaftsordnungen durch die von ihnen „produzierten“ Lebenslagen ln Verbindung mit einer umfassenden „Naturalrechnung“ kennzeichnen. Ob die Geldrechnung in gewissem Ausmass geeignet ist, die Naturalrechnung zu ersetzen, kann nur mit Hilfe der Naturalrechnung entschieden werden, innerhalb deren die Lebenslagenrechnung eine wesentliche Rolle spielt.On propose d'introduire dans les sciences sociales le concept de „situation de vie“, qui englobe non seulement logement, alimentation, vêtement et autres parties du revenu réel, mais aussi mortalité, morbidité, etc. Le „climat de vie“ d'une personne dépend de l'ensemble de sa „situation de vie“, de la morbidité aussi bien que du logement. Est-il possible de décomposer le „climat de vie“ en éléments „positifs“ et „négatifs“, qui correspondraient aux différents éléments de sa „situation de vie“? Réservons provisoirement la question.Si nous envisageons la méthode scientifique, le point de départ le meilleur serait la notion de „physiognomie (silhouette) de vie“. On les dessinerait à l'aide de grandeurs diversement mesurées et graduées.Certes, il ne serait guère possible de comparer les „situations de vie“ de personnes ou de peuples entiers en utilisant une seule échelle de graduation, tout au moins est-il possible de les décrire. Si l'on tente de dresser un „cadastre (inventaire) de situations de vie“ de différents peuples en différentes époques, il ne faut pas oublier que le „climat“ dans lequel vit un individu n'est pas assez déterminé par la surface du jardin qui lui appartient, il faut aussi préciser le loisir dont il dispose pour le cultiver.On peut caractériser les différents régimes sociaux par les situations de vie qu'ils produisent, à condition de combiner cette analyse avec un calcul en nature aussi étendu que possible. Le calcul en argent peut-il remplacer dans une certaine mesure le calcul en nature? La question elle-même ne peut être tranchée qu'à l’aide du calcul en nature qui lui-même dépend largement du calcul des „situations de vie“.