Abstract
The part‐whole and element‐system relations are usually not given a temporal interpretation. Taking a thesis of Father Bochenski as a starting point , the author first gives an adequate temporal interpretation of this thesis. Then, he shows that a divergence arises, in non‐static systems, between the system itself and the mereological sum corresponding to it at a certain instant. Therefore, any reductionism has to confront the generally neglected problem of this divergence.
Résumé Les relations partie‐tout et élément‐système ne sont pas habituellement interprétées de manière temporelle lorsqu'elles sont approachées de manière formelle. On prend ici pour point de départ une thèse formulée par le P. Bochenski, "tout élément d'un système est une partie propre de ce système", dont on donne d'abord une interpretation temporelle adéquate. On met ensuite en évidence la divergence, pour les systèmes non statiques, du système et de la somme méréologique qui lui correspond en un instant donné. Le réductionnisme doit done affronter le problème généralement négligé de cette divergence.
Zusammenfassung Gewöhnlich werden die Relationen zwischen Teil und Ganzem und zwischen Element und System nicht zeitlich interpretiert, wenn sie formal behandelt werden. Von einer These von P. Bochenski ausgehend versucht man zuerst, dieser These eine angemessene zeitliche Interpretation zu geben. Dann zeigt man, dass es bei nicht‐statischen Systemen eine Divergenz zwischen dem System und der ihm zu einer bestimmten Zeit entsprechenden mereologischen Summe gibt. Das sich daraus für den Reduktionismus ergebende Problem wird meist vernächlassigt