Abstract
Dans les théories esthétiques de la fin du XIXe siècle, l’exemple de l’architecture appuie une inversion progressive des hiérarchies entre le beau et l’utile, confortée par la montée des approches sociologiques et anthropologiques de l’art. Du côté des architectes, les débats sur l’origine et l’évolution des styles, depuis leurs manifestations primitives dans les industries d’art vers les formes plus évoluées de l’art monumental, infléchissent la compréhension des relations entre détermination matérielle et expression artistique.