Noesis 18:239-278 (
2011)
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Abstract
Ils s’embrassaient tous les deux pour le moment et pour toujours mais le cavalier n’avait plus sa tête, rien qu’une ouverture au-dessus du cou, avec du sang dedans qui mijotait en glouglous comme de la confiture dans la marmite.Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, Paris, Gallimard, coll. « Folio », 2008, p. 17. Embarras du discours Je souhaite interroger la notion de barbarie en l’illustrant par des cas concrets empruntés au théâtre occidental, en particulier au spectacle vivant...