The prevailing trend of deeming subjective experiences causally idle obfuscates consciousness research as epiphenomenal entities cannot be studied. The most flexible way for conscious experiences to be efficacious is for them to serve as a basis for free action. Regrettably, no objective evidence testifies for this possibility. In this paper I explain that if we seek the truth we must, for purely logical reasons, irrespective of theoretical ideas and empirical data about the origin of our activity, follow the Libertarian Imperative (...) -- the demand to try always to act in accord with the belief that one exercises the incompatibilist free volition. The Libertarian Imperative urges us to try to reject any conception about our nature -- including the modern scientific picture of human beings -- which claims that we are entirely law-governed creatures. (shrink)

In this paper, I explore a new type of semiotic translation in the context of Audiovisual Translation Studies (AVTS). To that end, a set of formulaic sequencesbestowed of pragmalinguistic value (hedging strings) is analysed. It is argued that the semiotic analysis of conversational features in English may contribute to facilitate their pedagogical exploitation in English as a Foreign Language (EFL) classrooms. This analysis builds theoretically on a semiotic translational framework termed Semiosic Translation (and its subset, Semiosic Subtitling) predicated upon three (...) types of translation: (i) Metaleptic translation; (ii) indexical translation; and (iii) translation as dynamic discontinuity. Th e translational rationale thus arrived at is deemed to account for what it is that binds together linguistic signs with other sign systems. (shrink)

Comme le disent le titre et le sous-titre de l'article, l'auteur centre son attention sur la «proposition» faite par l'encyclique Ut Unum Sint aux responsables d'Eglises et aux théologiens, d'approfondir, en dialogue avec le successeur de Pierre, la distinction entre la «substance» du ministère de Pierre et les «formes d'exercice» qu'il pourrait prendre en fonction de la «nouvelle situation». L'article ne se propose pas de faire un commentaire, encore moins d'analyser en détails, le contenu doctrinal de l'encyclique; il se contente (...) d'examiner la «proposition papale» dans le contexte immédiat de l'encyclique. Cela implique certaines coordonnées quant à la méthode et au contenu, pour qu'un thème aussi brûlant soit situé en vue de porter une lumière nouvelle sur la «fonction papale». Approfondir l'essence du ministère. de Pierre représente un désir profond de la «conscience oecuménique», tant de Paul VI que de Jean Paul II. Celui-ci annonça, dès le début de son pontificat, que la «cause oecuménique» était -comme le rappelle la UUS, n. 99 - «une des priorités pastorales» de son pontificat. L'encyclique réaffirme l'«engagement oécuménique» de toute l'Eglise et du pape en personne. La UUS, «de caractère essentiellement pastoral» , ne se préoccupe pas tant de développer les principes doctrinaux contenus dans les décrets conciliaires que de faire appel avec insistance à la conscience des fidèles chrétiens, afin d'avancer ve. (shrink)

Comme le disent le titre et le sous-titre de l'article, l'auteur centre son attention sur la «proposition» faite par l'encyclique Ut Unum Sint aux responsables d'Eglises et aux théologiens, d'approfondir, en dialogue avec le successeur de Pierre, la distinction entre la «substance» du ministère de Pierre et les «formes d'exercice» qu'il pourrait prendre en fonction de la «nouvelle situation». L'article ne se propose pas de faire un commentaire, encore moins d'analyser en détails, le contenu doctrinal de l'encyclique; il se contente (...) d'examiner la «proposition papale» dans le contexte immédiat de l'encyclique. Cela implique certaines coordonnées quant à la méthode et au contenu, pour qu'un thème aussi brûlant soit situé en vue de porter une lumière nouvelle sur la «fonction papale». Approfondir l'essence du ministère. de Pierre représente un désir profond de la «conscience oecuménique», tant de Paul VI que de Jean Paul II. Celui-ci annonça, dès le début de son pontificat, que la «cause oecuménique» était -comme le rappelle la UUS, n. 99 - «une des priorités pastorales» de son pontificat. L'encyclique réaffirme l'«engagement oécuménique» de toute l'Eglise et du pape en personne. La UUS, «de caractère essentiellement pastoral» , ne se préoccupe pas tant de développer les principes doctrinaux contenus dans les décrets conciliaires que de faire appel avec insistance à la conscience des fidèles chrétiens, afin d'avancer ve. (shrink)

Transhumanism and Unitarian Universalism are both the result of filtering ancient religious aspirations through the sieve of Enlightenment rationalism, humanism and individualism. The transhumanists aspire to transcendence through individual adoption of human enhancing technologies, while the UUs encourage transcendence through the critical, selective construction of personal spiritualities. Today, most religious reject the promises of human enhancement and transhumanism. But Unitarian Universalists are in the unusual position to be interlocutors between faith and science, between spirituality and techno-transcendence, between liberal religion and (...) transhumanism. One area in which both UUs and transhumanists could especially benefit from dialogue is in reimagining virtue, which both have left behind as illiberal, moralistic anachronisms. Our ability to technologically enhance moral sentiments and behavior has made defining a liberal, and yet bounded, concept of the good life urgent for both UUs and the human enhancement movement. (shrink)

Transhumanism and Unitarian Universalism are both the result of filtering ancient religious aspirations through the sieve of Enlightenment rationalism, humanism and individualism. The transhumanists aspire to transcendence through individual adoption of human enhancing technologies, while the UUs encourage transcendence through the critical, selective construction of personal spiritualities. Today, most religious reject the promises of human enhancement and transhumanism. But Unitarian Universalists are in the unusual position to be interlocutors between faith and science, between spirituality and techno-transcendence, between liberal religion and (...) transhumanism. One area in which both UUs and transhumanists could especially benefit from dialogue is in reimagining virtue, which both have left behind as illiberal, moralistic anachronisms. Our ability to technologically enhance moral sentiments and behavior has made defining a liberal, and yet bounded, concept of the good life urgent for both UUs and the human enhancement movement. (shrink)