Abstract
Que reste-t-il du « printemps arabe » et que peut-on soutenir à propos de l’identité du processus révolutionnaire, après que la naissance du « califat » de Daech en 2014 a fait apparaître le problème théologico-politique comme l’un des principaux effets de ce processus, que les théories du complot ont fusé de toutes parts pour tenter d’expliquer les causes des malheurs qui ne cessent de s’abattre sur le monde arabe, et que l’implication de nombreuses parties, régionales et internationales, da...