Abstract
Bien que, ces dernières années, le nombre des études consacrées en langue européenne à la philosophie de l’« École de Kyōto » n’ait cessé de croître, l’œuvre de Tanabe Hajime (1885-1962) demeure curieusement – Tanabe étant le co-fondateur de l’« École » – impopulaire auprès des interprètes contemporains, au Japon comme hors de ses frontières, en comparaison, du moins, avec celle de son maître et adversaire, Nishida Kitarō (1870-1945), celle de leur disciple commun, Nishitani Keiji (1900-1990)...