Abstract
Malgré un contexte favorable, la scénographie peinerait encore aujourd’hui à être reconnue comme un art à part entière, comme peut l’être, par exemple, l’installation. S’il faut en chercher les raisons, il est intéressant de se pencher sur les discours, comme les expressions imaginées à son égard, pour que les doutes disparaissent sur sa nature, pour que tout quiproquo soit levé. Mais, à trop vouloir légitimer, ne risque-t-on pas de créer des situations ambiguës où la scénographie perdrait une part de son essentialité comme de ce qui a fait son histoire?