Abstract
Le travail d’identification, de reclassement et d’enregistrement informatique des fragments de la réserve du nouveau musée de l’Acropole ainsi que l’étude de nombreux fragments déposés jusqu’ici dans des caisses en bois a permis la matérialisation d’une quarantaine de raccords, en particulier sur des statues archaïques, dont les plus significatifs sont publiés ici. Certains complètent, parfois de manière substantielle, des oeuvres connues (chien Acr. 143, cavalier Acr. 700, géant Acr. 631C). Une «nouvelle » corè (Acr. 588) a aussi été recomposée. L’article illustre l’intérêt et l’utilité de l’étude systématique des fragments, même des plus modestes.