Abstract
The laws of vital phenomena are to a high degree in contradiction with the principle of absolute causality. Hence the problem arises, what position and rank this principle occupies in biology. The solution of this contradiction might be found in a relaxation of the principle, or in its broadening or by means of the addition of a second heterogenic principle of relationship.The first solution is today rather in favour, since modern physics, especially based on the ”Uncertainty Principle” ofHeisenberg, is inclined to repudiate a strictly causal connection of events in the realm of atomic processes.Broadening of the principle of causality is aimed at to a certain degree by the doctrine of holism. According to this theory biological axioms, principles, and laws are the more universal and the more widely valid, and physical laws should be deduced from them by simplification .The third way is followed by vitalistic doctrines.The ”trialistic” doctrine, presented by the author, represents a development of vitalistic theory. It does not content itself with establishing the fact of the heterogenity of causal and biological laws, but tries to go beyond this and to understand, why the laws of the organic world are of just their special kind and not of another. Moreover it attempts to fit these distinctive principles into the universal system of laws. The trialistic theory divides the wholeness of events into three fundamentally different ”dimensions”, into ”matter”, ”psyche” and ”spirit”, or within the special sphere of living forms into: material, vital and organismic ”dimension”. While in the material sphere the causal connection remains dominant, solely and absolutely, the spiritual or organismic ”dimension” is ruled by ”finality”, a mode of connection of a special kind, caracterized by an active influence on the present of the non-realised future.The interposition of a neutral sphere opens up the possibility of understanding the interweaving of causal and final laws, without interference with one another.Les lois des apparitions de la vie sont difficilement conciliables avec le principe d'une causalité absolue. Le problème se pose donc de savoir, quelle position et quel rÔle ce principe occupe en biologie. La solution de cette contradiction pourrait Être trouvée dans une atténuation ou un élargissement de ce principe comme tel ou par l'adjonction d'un second principe de liaison hétérogène.La première solution est en faveur aujourd'hui depuis que la physique moderne, s'appuyant principalement sur la „Unsicherheitsrelation” deHeisenberg, tend à renoncer à une liaison strictement causale de ce qui se passe dans le domaine des processus atomiques.L'élargissement du principe de causalité est désiré en un certain sens par le holisme. Selon cette théorie les axiomes, les principes et les lois biologiques sont plus universels et d'une valeur plus étendue et il faut en déduire les règles physiques par dérivation simplifiante .La troisième solution nous est donnée par les doctrines vitalistes.La théorie présentée par l'auteur, appelée „trialiste”, met en avant un développement de la doctrine vitaliste. Il ne lui suffit pas de s'arrÊter à l'existence de l'hétérogénité des lois causales et biologiques, mais elle veut aller plus loin, afin de savoir pourquoi les règles déterminant l'organisme sont telles et pas autres. Et elle cherche à mettre de l'ordre dans les principes déterminants en les ènboÎtant dans le système universel de lois. La théorie trialiste divise l'univers des événements en trois „dimensions” qui sont: Matière, „Psyché” et Esprit, ou dans le domaine spécial des formes vivantes en: Matière, Dimension vitale et Dimension organismique. Tandis que dans la dimension matérielle la connexion causale est uniquement et absolument valable, la dimension spirituelle ou organismique est régie par la „Finalité”, un mode de connexion d'un genre spécial, désigné par une influence active du présent par le futur non réalisé.L'interposition d'une sphère neutre nous amène à la possibilité de comprendre l'enchaÎnement es lois causales et finales sans que les unes détruisent les autres