Abstract
Résumé Les évolutions scientifiques et techniques notables en matière de procréation qui marquent les années 1940 à 1960 (insémination artificielle, inhibition hormonale de la fonction ovarienne) suscitent, au sein de l’Église catholique et parmi ses fidèles, tensions, interrogations et attentes. Ces pratiques confrontent en particulier les auxiliaires catholiques de la naissance, médecins et sages-femmes, à l’appréciation de leur acceptabilité morale. L’Association des sages-femmes catholiques constitue une des arènes où se déploient ces débats.