Hermes 38:63 (
2004)
Copy
BIBTEX
Abstract
Bien que son écoute ne diminue guère, la radio a suscité peu de recherches en sciences de la communication qui ont privilégié depuis leur origine la presse, le cinéma et la télévision. Cet article tente d'expliquer cet oubli relatif et propose quelques réflexions sur le son numérique et la fragmentation de l'offre de programmes, notamment les émissions dites «de libre antenne», les programmes nocturnes, et les radios communautaires.Historical factors are behind the relative lack of research into radio in the field of the young information and communication sciences despite radio’s very popular audience. The paper explores the cause of this deficit, compared with TV studies, and shows that the difficulties faced by those carrying out such research into radio are in themselves opportunities for better analysis of media phenomena