This article recommends the film Inside Job as an effective teaching tool for illustrating the ethical issues that surrounded the global financial crisis of 2008 and the subsequent economic downturn. The study discusses issues such as the revolving door, conflicts of interest, fiduciary duty, executive compensation, and financial regulation. The presentation of each ethical issue comprises suggested questions, background information, and guides to specific sections of the film. An overview of the film is provided as well.

We present a theory of conversation comprehension in which a line of the conversation is “understood” by relating it to one of seven possible “points”. We define these points, and present examples where it seems plausible that the failure to “get the point” would indeed constitute a failure to understand the conversation. We argue that the recognition of such points must proceed in both a top down and bottom up fashion, and thus is likely to be quite complicated. Finally, we (...) see the processing of information in the conversation to be dependent upon which point classification the user decides upon. (shrink)

Mackie, J. L. Causes and conditions.--Taylor, R. The metaphysics of causation.--Scriven, M. Defects of the necessary condition analysis of causation.--Kim, J. Causes and events: Mackie on causation.--Anscombe, G. E. M. Causality and determination.--Davidson, D. Causal relations.--Wright, G. H. von. On the logic and epistemology of the causal relation.--Ducasse, C. J. On the nature and the observability of the causal relation.--Sellars, W. S. Counterfactuals.--Chisholm, R. M. Law statements and counterfactual inference.--Rescher, N. Belief-contravening suppositions and the problem of contrary-to-fact conditionals.--Stalnaker, R. A (...) theory of conditionals.--Lewis, D. Causation.--Kim, J. Causes and counterfactuals. (shrink)

_'Nagel and Newman accomplish the wondrous task of clarifying the argumentative outline of Kurt Godel's celebrated logic bomb.'_ _– The Guardian_ In 1931 the mathematical logician Kurt Godel published a revolutionary paper that challenged certain basic assumptions underpinning mathematics and logic. A colleague of physicist Albert Einstein, his theorem proved that mathematics was partly based on propositions not provable within the mathematical system. The importance of Godel's Proof rests upon its radical implications and has echoed throughout many fields, from maths (...) to science to philosophy, computer design, artificial intelligence, even religion and psychology. While others such as Douglas Hofstadter and Roger Penrose have published bestsellers based on Godel’s theorem, this is the first book to present a readable explanation to both scholars and non-specialists alike. A gripping combination of science and accessibility, _Godel’s Proof_ by Nagel and Newman is for both mathematicians and the idly curious, offering those with a taste for logic and philosophy the chance to satisfy their intellectual curiosity. _Kurt Godel_ Born in Brunn, he was a colleague of physicist Albert Einstein and professor at the Institute for Advanced Study in Princeton, N.J. (shrink)

La eutanasia entendida como muerte por misericordia tiene un contexto puramente moral que determina las posturas asumidas ante los problemas y las discusiones que esta problemática presenta. Se pregunta por la contribución de la filosofía en el propósito de aclarar y demostrar de qué modo las diferentes opiniones y posiciones remiten a diversas creencias morales. En el discurso se consideran principalmente tres concepciones: 1) la concepción cristiana que tiene por fundamento moral: sólo la vida humana es sagrada y toda vida (...) humana es santa; 2) la concepción de la moral moderna que se basa en fundamentos naturales, a saber, el efecto natural de la compasión, que durante la trama tejida se reconocerá como utilitarismo, y, 3) el interés racional que todos los hombres tienen de observar unas normas bajo la asunción que todos los otros harán lo mismo. Estas concepciones se sustentarán a partir del análisis argumentativo de las mismas con especial énfasis en la creencia moral de la cual se derivan. (shrink)

Si l'on en croit Marcel Proust il faut admettre qu'on n'écrit qu'une seule œuvre. Mais alors on doit également accepter comme vraie l'inverse de cette proposition, notamment, si les préoccupations d'un auteur ne se suivent pas, si l'écrivain ou le philosophe voltige d'une fleur à l'autre, s'il se laisse tenter par mille aventures de l'esprit il peut à la rigueur mériter le titre peu flatteur de dilettante. La grandeur de toute œuvre de vie consiste dans sa profonde unité, unité qui (...) se forme derrière, ou si l'on veut au-delà des systèmes ou des théories. Heidegger nomme l'impenśe de l'auteur ce que Gide appelle la part du Dieu ou la part du diable. Mais l'impensé n'est le caché, le voilé que par rapport à ce qui est dévoilé, à ce qui est pensé. Il n'est donc autre que l'infra-structure. C'est à cette structuration alors que l'impensé doit son importance dans l'édifice de nos pensées. Autrement dit, les pensées claires ont leur racine dans le clair-obscur. Il y a toutefois un clair-obscur qui n'en est un que pour le lecteur. L'auteur y est plus à l'aise. C'est le domaine des confessions. Les confessions peuvent prendre des formes différentes, toutefois leur caractéristique générate permet de les distinguer des autres œuvres. Ainsi, quand un philosophe décide de publier son œuvre de jeunesse, dirions-nous, cela tombe dans la catégorie des confessions, tout comme les entretiens avec… et les testaments philosophiques. (shrink)

C’est un plaisir de poursuivre une conversation de longue date avec la personne qu’on honore, au sujet de questions relatives à la nature de la croyance et de la manière dont elles affectent la théorie de la connaissance : la croyance peut-elle être de l’ordre de la performance? Peut-elle être vraiment motivée, beaucoup moins motivée de manière appropriée, par des raisons qui sont pragmatiques plutôt qu’épistémiques? Ce sont des questions sur lesquelles nous sommes en désaccord et que Engel inscrit dans (...) un conflit plus général sur la sorte de normativité qui convient à l’épistémologie. Il m’attribue une sorte de normativité téléologique-axiologique, tandis qu’il opte plutôt pour une normativité qui est déontique. Selon lui, il existe des normes de croyance, au minimum une norme de vérité, et aussi une norme de connaissance. Vous devez ne pas croire ce qui n’est pas vrai, et même ce dont vous ne savez pas s’il est vrai, voir [Engel 2013], [Sosa 2013]. (shrink)