Implicit memory refers to a change in task performance due to an earlier experience that is not consciously remembered. The topic of implicit memory has been studied from two quite different perspectives for the past 20 years. On the one hand, researchers interested in memory have set out to characterize the memory system underlying implicit memory, and see how they relate to those underlying other forms of memory. The alternative framework has (...) considered implicit memory as a by-product of perceptual, conceptual, or motor systems that learn. That is, on this view the systems that support implicit memory are heavily constrained by pressures other than memory per se. Both approaches have yielded results that have been valuable in helping us to understand the nature of implicit memory, but studied somewhat in isolation and with little collaboration. This volume is unique in explicitly contrasting these approaches, bringing together world class scientists from both camps in an attempt to forge a new approach to understanding one of the most exciting and important issues in psychology and neuroscience. Written for postgraduate students and researchers in cognitive psychology and cognitive neuroscience, this is a book that will have an important influence on the direction that future research in this field takes. (shrink)

Je lui ai associÉ un court extrait d'une revue de questions portant sur le même thème. Implicit memory is revealed when previous experiences facilitate perf on a task that does not require conscious or intentional recollection of those expces. Explicit memory is revealed when perf on a task requires conscious recolelction of previous expces. Il s'agit de defs descriptives qui n'impliquent pas l'existence de deux systs de mÉmo sÉparÉs. Historiquement Descartes est le premier ˆ faire mention de (...) phÉnomènes de mÉmo implicites, Leibniz, Maine de Biran, Bergson en ont Également parlÉ. Korsakoff (1889) avec ses travaux sur les amnÉsiques montre qu'ils sont capables d'utiliser de l'info qu'ils ont acquises dans des Épisodes rÉcents sans pour autant manifester le moindre souvenir de l'Épisode. L'interprÉtation de ces phÉnomènes Était alors que ça renvoyait ˆ des traces en mÉmoire trop tÉnues pour accèder jusqu'au champ de la conscience. Cette interprÉtation va pouvoir être ÉcartÉe par les travaux rÉcents. Thorndike a Également conduit un nbre important de travaux sur MI. Les trauvaux un peu plus rÉcents ont montrÉ qu'un apprentissage antÉrieur pouvait faciliter une perfce sans qu'il y ait ref explicite à l'Épisode d'apprentissage. On a montrÉ aussi l'effet de stimuli subliminaux, qui en tant que tels ne peuvent pas être rappelÉs consciemment, mais qui influencent la conduite ou les jugts ultÉrieurs. Par ex, la prÉsentation de formes sur des temps très courts qui excluent la possibilitÉ d'une perception consciente influence significativement lechoix de formes dans une pÉreuve ultÉrieure de choix forcÉs où les sjts doivent indiquer la forme qu'il prÉfère entre deux. Ils choisissent prÉfÉrentiellement celles qui leur ont ÉtÉ prÉsentÉes de manière subliminale. De même Bargh et al. ont montrÉ que des sjts soumis de manière subliminale ˆ des mots hostiles portent ultÉrieurement des jugts plus nÉgatifs sur une personne target. Il ya Également eu des travaux sur l'apprsge ou le condt without awareness en particulier apprsge implicite de règles de grammaire (ie le sjt peut construire de nouvelles phrases conformes ˆ la syntaxe de celles qui lui ont ÉtÉ prÉsentÉes sans pour autant petre capables d'noncer les règles de grammaire qu'il utilise) Rem: N'est ce pas un pbe de typemÉtacognition??? Enfin, tous les travaux sur le priming sont des elts en faveur de MI: Facilitation in the processing of a stimulus as a function of a recent encounter with the same stimulus. Type de perfce sur lesquels les effets de priming ont ÉtÉ dÉmontrÉs: -T‰ches de dÉcision lexicale: Le sjt doit dire si la cha"ne de caractères qu'on lui prÉsente est un mot ou pas: Le temps de latence est beaucoup plus court si la cha"ne a dÉjˆ ÉtÉ prÉsentÉe une première fois. -Mesures de temps d'identification de mots en rpÉsentation tachitoscopiques -ComplÉmentation de mots: les sjts ont tendance ˆ complÉter pour crÉer les mots qui leur ont ÉtÉ prÉsentÉs antÉrieurement. L'intÉrêt pour le paradigme de priming se retouve chez les gens qui s'intÉressent ˆ: -reconnaissance de mots et organisation lexicale. les effets de priming permettent de faire des hyps sur l'accès lexical et la reprÉsentation. -M. Épisodique: travux sur les amnÉsiques qui ne se souviennent pas qu'on vient de leur prÉsenter des mots mais qui manifestent une mÉmoire implicite lorsqu'on leur fait faire de la complÉmentation de mots. DISSOCIATION ENTRE M.I. ET M EXPLICITE 1-Si de nombreux travaux montrent que la M explicite est influencÉe par le travail d'Élaboration (profondeur de traitement) en jeu pendant la première phase d'Étude des stimuli, il semble que la MI ne le soit pas. 2-Le changt de modalitÉ (par ex auditif -> visuel) entre la phase d'Étude et la phase de test provoque une attÉnuation importante de l'effet de priming si le test est un test de MI mais pas si c'est un test de ME. 3-Les effets de primings persistent assez largement sur plusieurs jours ce qui n'est pas le cas des perfces ˆ une Épreuve de reconnaissance. 4-Les perfces sur des tests de MI ne semblent pas influencÉes par des manipulations d'interfÉrences proactives ou rÉtroactives dont on sait qu'elles influencent les perfces en ME. 5-Absce de corrÉlation entre perfces ˆ des tests de reconnaissance et perfces ˆ une Épreuve de complÉmentation de mots. SIMILARITES ENTRE PRIMING ET REMEMBERING 1- A certaines conditions les durÉes de rÉtention on des effets parallèles sur les effets de priming et les mesures de ME (REm: en partie contradictoire avec 3 ci dessus) 2-La manipulation du contexte de la liste lors de la phase d'Étude affecte ˆ la fois les perfces en reconnaissance et en identification de mots. 3- ME et MI sont influencÉes par des associations nouvellement acquises entre des paires de mots non reliÉes (Rem: contradictoires avec 4 ci dessus ??) 4- Rem: Le contraire de 1 du pt "dissociation" !!!! dans une manip particulière 5-Johnston et al. ont montrÉ que des mots identifÉs plus rapidement Étaient plus svt jugÉs comme 'old' dans une t‰che de reconnaissance que les mots identifiÉs plus lentement. Il n'est pas exclu que les phÉnomènes que l'on interprètent comme relevant de MI soient parfois de la ME involontaire cad des cas o les cues fournis dans le test conduisent ˆ un souvenir involontaire mais totalement conscient. LES INTERPRETATIONS THEORIQUES DE MI 1-Les effets de priming sur des test de MI sont attribuables ˆ l'activation temporaires de reprÉsentations ou structures de K prÉ-existantes . Cette activation est supposÉe avoir lieu de manière automatique, indÉpendamment des processus d'Élaboration nÉcessaires pour Établir de nouvelles traces Épisodiques. 2- les difÉrences entre ME et MI sont dues ˆ la nature et aux relations entre les processus d'encodage et de rÉcupÉration. Une version de cette approche est celle qui s'appuie sur la distinction entre processus dirigÉs par les donnÉes et processus dirigÉs par les concepts. Ces derniers reflètent des activitÉs initiÉes par le sjt comme l'Élaboration, l'organisation et la reconstruction, c'est sur ce type de processus que reposerait la ME alors que la MI reposerait sur des processus data-driven. 3-ME et MI renvoient ˆ des systs sous jacents diffÉrents. Pour Cohen & Squire (1984), la ME est supportÉe par une M DECLARATIVE , syst qui est en jeu dans la formation de nouvelles reprÉsentations. La MI repose sur un syst PROCEDURAL dans lequel la M se manifeste par des modifications on line de procÉdures ou opÉrations de traitement. Le syst de M Épisodique est vu comme la base pour le souvenir explicite d'evts rÉcents tandis que la M sÉmantique est responsable des perfces sur des tests de MI. Chacune de ces approches est conforme ˆ certaines des donnÉes recueillies mais pas ˆ d'autres. (shrink)

The present paper examines the relationship between explicit and implicit memory and ultimate attainment in the native language. Two groups of native speakers of English with different levels of academic attainment (i.e., high vs. low) took part in three language tasks which assessed grammar, vocabulary and collocational knowledge, as well as phonological short-term memory (assessed using a forward digit-span task), explicit associative memory (assessed using a paired-associates task) and implicit memory (assessed using a deterministic (...) serial reaction time task). Results revealed strong relationships between phonological short-term memory and explicit associative memory on the one hand and the three language tasks on the other hand, and no relation between linguistic performance and implicit memory. Taken together, these results cast doubts on the common assumption that L1 grammar learning depends almost entirely on implicit memory and align with the claims of usage-based models of language acquisition that grammatical and lexical knowledge depend on the same cognitive mechanisms. (shrink)

The editor of this volume takes it to mean that a prior experience affects behavior without the individual's appreciation (ability to report) of this...

In this review I describe research conducted in my laboratory concerning implicit mood-congruent memory (MCM) bias in clinical depression. MCM is the tendency for depressed individuals to retrieve more unpleasant information from memory than nondepressed controls, and may be an important maintenance mechanism in depression. MCM has been studied frequently with explicit memory tests, but relatively few studies have investigated MCM using implicit memory tests. I describe several implicit memory studies which show (...) that: (a) an implicit MCM bias does not appear to exist when perceptually driven tests are used; (b) implicit memory bias can be found when conceptually driven tests are used, but (c) not all conceptually driven tests show implicit MCM bias. I conclude that conceptual processing is necessary, but is not sufficient for demonstrating implicit memory bias in depression. Future studies should investigate specific components of conceptual elaboration that support implicit memory bias in depression. (shrink)

Changes in environmental context between encoding and retrieval often affect explicit memory but research on implicit memory is equivocal. One proposal is that conceptual but not perceptual priming is influenced by context manipulations. However, findings with conceptual priming may be compromised by explicit contamination. The present study examined the effects of environmental context on conceptual explicit and implicit memory . Explicit recall was reduced by context change. The implicit test results depended on test awareness (...) . Among test-unaware participants, priming was equivalent for same-context and different-context groups, whereas for the test-aware, the same-context group produced more priming. Thus, when explicit contamination is controlled, changes in environmental context do not impair conceptual priming. Context dependency appears to be a general difference between implicit and explicit memory rather than a difference between conceptual and perceptual implicit memory. Finally, measures of mood indicated no changes in affect across contexts, arguing against mood mediation for the context effects in explicit recall. (shrink)

The first to focus exclusively on implicit memory research, this book documents the proceedings of a meeting held in Perth, Australia where leading researchers ...

The thesis of this article is that implicit memory does not exist. Implicit memory.

There is evidence from neuropsychological and psychophysical measurements that conscious sensory information is processed in discrete time segments. The segmentation process may be described as neuronal activity at a frequency of 40 Hz. Stimulus-induced neuronal activities of this frequency are found in the middle latency range of the auditory evoked potential . First, we have studied the effects of different general anesthetics on MLAEP and auditory evoked 40-Hz activity. Second, we investigated MLAEP and explicit and implicit memory for (...) information presented during cardiac anesthesia. In the awake patients peak latencies of the MLAEP were in the normal range. An auditory evoked 40-Hz activity was present 20–100 ms poststimulus. Under nonspecific anesthetics MLAEP and the 40-Hz activity were suppressed, and under receptor-specific agents MLAEP and the 40-Hz activity were partly preserved. None of the cardiac patients had conscious explicit recall of the intraoperative events, whereas some patients showed unconscious implicit memory for an intraoperative tape message. The implicit memory could be related to midlatency auditory evoked potentials. No implicit memory was detectable when MLAEP and the primary cortical processing of the auditory stimuli and 40-Hz activity were blocked. Implicit memory could be detected in more than 50% of the cases when MLAEP, a 30-Hz activity, and the primary cortical stimulus processing were preserved. In conclusion, our observations support the view that a high frequency oscillatory mechanisms, recorded as a grouped neuronal activity in the MLAEP, may be part of a basic neuronal program for conscious sensory information processing. (shrink)