Abstract
Le problème de la pédagogie des grands groupes a été posé pour la première fois en mars 1984, lors de la réunion à Khartoum, de l’Association des Professeurs de Français en Afrique. Plus de deux décennies plus tard, la loi du grand nombre continue à s'imposer, comme une fatalité, dans les classes en Afrique noire, aussi bien aux niveaux primaire, secondaire, que supérieur. A partir de l'analyse cette problématique au Cameroun à l'aube du XXIe siècle la présente étude suggère une refondation du système scolaire camerounais en particulier, afin de l'adapter au contexte socioéconomique et politique actuel.