In response to growing concern in the 1980s about the quality of public education across the United States, a tremendous amount of energy was expended by organizations such as the Holmes Group and the Carnegie Forum to organize professional development schools or “partner schools” for teacher education. On the surface, the concept of partnering is simple; however, the practice is very costly, complex, and difficult. In _Schooling, Democracy, and the Quest for Wisdom_, Robert V. Bullough, Jr. and John R. (...) Rosenberg examine the concept of partnering through various lenses and they address what they think are the major issues that need to be, but rarely are, discussed by thousands of educators in the U.S. who are involved and invested in university-public school partnerships. Ultimately, they assert that the conversation around partnering needs re-centering, refreshing, and re-theorizing. (shrink)

Art versus nature, the literary work and the author, the literary work and the reader, structure and style, and the purpose of literature are the main subjects treated in a study of eight leading writers of modern Japan.

Paul Kurtz has been the dominant voice of secular humanism over the past thirty years. This compilation of his work reveals the scope of his thinking on the basic topics of our time and his many and varied contributions to the cause of free thought. It focuses on the central issues that have concerned Kurtz throughout his career: ethics, politics, education, religion, science, and pseudoscience. The chapters are linked by a common theme: the need for a new enlightenment, one committed (...) to the use of rationality and skepticism, but also devoted to realizing the highest values of humanist culture. Many writings included here were first published in magazines and journals long unavailable. Some of the essays have never before been published. They now appear as a coherent whole for the first time. Also included is an extensive bibliography of Kurtz's writings. Toward a New Enlightenment is essential for those who know and admire Paul Kurtz's work. It will also be an important resource for students of philosophy, political science, ethics, and religion. Among the chapters are: "Humanist Ethics: Eating the Forbidden Fruit"; "Relevance of Science to Ethics"; "Democracy without Theology"; "Misuses of Civil Disobedience"; "The Limits of Tolerance"; "Skepticism about the Paranormal: Legitimate and Illegitimate"; "Militant Atheism vs. Freedom of Conscience"; "Promethean Love: Unbound"; "The Case for Euthanasia"; and "The New Inquisition in the Schools.". (shrink)

" En écrivant son Traité de l'Interprétation, Aristote a trempé sa plume à l'encre de son esprit! " L'antique remarque de Cassiodore vaut encore aujourd'hui tant la matière étudiée est complexe et le style ramassé. Aristote démonte les mécanismes du langage philosophique, aux confins de la linguistique et de la métaphysique. Il offre à cette occasion des développements fondateurs sur la formulation de la vérité, les règles de mise en contradiction, les propositions universelles, la contingence des jugements sur le futur, (...) ou encore les redoutables énonciations modales. S'appuyant sur ses prédécesseurs, Thomas d'Aquin en rédige un commentaire hautement structuré, reconnu comme l'un des plus explicites. Demeuré cependant inachevé, il est complété par Thomas de Vio, dit Cajetan, un des premiers grands thomistes et maître logicien. C'est de l'ensemble de ces deux parties de commentaires que nous proposons la traduction ; la seconde pour la première fois en langue française. (shrink)

Lexical Semantics is about the meaning of words. Although obviously a central concern of linguistics, the semantic behaviour of words has been unduly neglected in the current literature, which has tended to emphasize sentential semantics and its relation to formal systems of logic. In this textbook D. A. Cruse establishes in a principled and disciplined way the descriptive and generalizable facts about lexical relations that any formal theory of semantics will have to encompass. Among the topics covered in depth are (...) idiomaticity, lexical ambiguity, synonymy, hierarchical relations such as hyponymy and meronymy, and various types of oppositeness. Syntagmatic relations are also treated in some detail. The discussions are richly illustrated by examples drawn almost entirely from English. Although a familiarity with traditional grammar is assumed, readers with no technical linguistic background will find the exposition always accessible. All readers with an interest in semantics will find in this original text not only essential background but a stimulating new perspective on the field. (shrink)

L'oeuvre et le concept! Tels sont bien les deux objets, par excellence, de la philosophie de l'art. L'oeuvre d'art sur laquelle " philosophe " Olivier Revault d'Allonnes n'est pas l'oeuvre achevee, celebree, sacralisee, sanctifiee, mais au contraire l'oeuvre qui, de tout temps, deroute, irrite, scandalise, dejoue le discours apprete et conciliant de l'esthetique traditionnelle. Le concept est l'autre nom de la critique, parole enfin donnee aux oeuvres, passees et presentes, afin qu'elles puissent dire non aux ordres etablis... Leur interpretation se (...) joue donc a l'infini, mais non pas dans l'indetermination, car ce qu'elles expriment, qu'il s'agisse d'un tableau de Rembrandt, d'un quatuor de Beethoven, ou d'une piece pour piano de Schonberg, est chaque fois identique, a savoir l'irreductible et " irrespectueuse " liberte de la creation artistique. Cette esthetique, a l'ecart des dogmatismes, des systemes et des modes, est ici pretexte aux reflexions et aux temoignages qui composent cet ouvrage. (shrink)

Through emotionally charged portraits and richly layered interior views, the photographs of Chicago-based artist Paul D Amato provide a genuine and complex perspective on life in some of the most challenging and troubled neighborhoods in the nation. This publication is supported in part by grants from the David C. and Sarajean Ruttenberg Arts Foundation and the Robert Mapplethorpe Foundation.".

Le traité Περὶ θείων ὀνομάτων de l’élève de Proclus dissimulé sous le nom de ‘Denys l’Aréopagite’— traité qui a été récemment édité en qualité de premier titre de la série Corpus Dionysiacum— est subdivisé en deux grandes parties par un excursus fameux sur le problème de la substantialité des maux. Dans la première partie, contenant les chapitres I-III, l’auteur discute la possibilité des prédications dont l’objet est le premier principe. Dans la deuxième, contenant les chapitres V-XIII, il en présente les (...) ‘noms’. Les deux parties sont séparées par le long excursus sur la nature du mal, qui forme l’objet du chapitre IV. Ce dernier s’ouvre, il est vrai, sur le propos d’examiner la dénomination de ‘Bien’ attribuée au premier principe , si bien que l’on rangerait volontiers ce chapitre dans la deuxième partie, consacrée à la présentation des ‘noms’ de Dieu et à leur commentaire. Il se trouve pourtant que l’auteur a explicitement placé la charnière principale de son traité après l’excursus sur la nature du mal. Au début du chapitre V, en effet, il déclare aborder la question de l’οὑσιωνυμία divine, en démontrant par là concevoir le ‘Bien’ comme une dénomination différente de toute autre, voire antérieure à tous les noms qui sont en relation avec l’οὑσία, et dont l’examen occupe les chapitres V-XIII. (shrink)

Résumé Cet article aborde les intelligences artificielles génératives visuelles telles que Midjourney et DALL·E afin d’analyser leur fonctionnement sémiotique. Le point de départ est la définition de la discipline sémiotique proposée par Pierluigi Basso Fossali, décrivant celle-ci comme la science qui étudie la gestion sociale du sens, et qui s’articule en quatre sphères fondamentales : la perception, l’énonciation, la communication et la transmission. À partir de ce cadre théorique, l’objectif est de proposer et de décrire deux nouvelles configurations qui caractérisent (...) le fonctionnent sémiotique des IA génératives visuelles : à travers une perception d’archives et grâce à des circuits de composition. Le concept de perception d’archives a pour objectif de décrire la manière particulière dont les IA voient, entendent et apprennent, celle-ci étant réalisée sur de grandes quantités de données et à travers une généalogie d’opérations reconfigurables sur les archives. Les circuits de composition, quant à eux, concernent le couplage entre la logique de la composition visuelle et de la prédication verbale : il s’agit du processus d’énonciation par débruitage visuel réalisé par les IA, guidé par les requêtes en langage naturel fournies par des opérateurs humains. À partir de trois critères élaborés en sémiotique – les catégories plastiques, l’énonciation visuelle, ainsi que la traduction intersémiotique entre textes verbaux et images – une série de tests seront proposés afin d’examiner les circuits de composition des modèles génératifs de Midjourney et de DALL·E. Les IA seront enfin définies en tant que machines co-énonçantes : des entités dépourvues d’intentionnalité et d’initiative, qui produisent pourtant des énoncés en collaboration avec un opérateur humain et sur la base d’archives de données hautement structurées et reconfigurables. (shrink)

En portant l’attention sur la ville de Troyes, petite cité manufacturière et commerçante du département de l’Aube, entre 1820 et 1850, cet article examine l’offre publique d’enseignement mathématique à l’échelle de la ville afin de mettre en lumière d’éventuelles circulations mathématiques entre les divers types d’institutions post-élémentaires – primaire, secondaire, technique – qui la composent. Il montre ainsi l’existence d’interrelations entre ces filières d’enseignement dont les modalités et les normes d’enseignement sont a priori distinctes, compte tenu de la spécificité de (...) leurs publics et de leurs finalités différenciées, et dont il est généralement admis qu’elles n’ont guère de rapports entre elles du fait des cloisonnements institutionnels qui prévalent à cette époque. Les circulations mathématiques observées sont d’abord des circulations d’enseignants d’une institution à l’autre, liées à la pluriactivité enseignante de nombre d’entre eux. Avec les individus, ce sont aussi des savoirs, des pratiques, des habitudes de travail qui franchissent les frontières institutionnelles et se confrontent éventuellement à d’autres systèmes de normes. (shrink)

La division du travail physiologique est un concept tombé en désuétude en biologie. Quand l’expression est employée, c’est sans égard pour sa fonction nomologique importante dans la biologie du second xixe. Nous analyserons l’importation de la division du travail de l’économie à la biologie, malgré les difficultés de validation que posait son transfert d’une science à l’autre. La notion a ainsi continué sa carrière dans une biologie gagnée à la théorie cellulaire, cependant que ses déterminations économiques perdaient leur pertinence. Nous (...) terminerons en interrogeant sa disparition au début du xxe. La division du travail physiologique, une fois purifiée de son économicité primitive, ne pouvait sans doute que retourner à un stade métaphorique. (shrink)

En 1986, H.T. Engelhardt justifiait l'autonomie de la bioéthique à l'égard des éthiques religieuses en partant du fait que les hommes de notre temps sont « moralement des étrangers », les uns pour les autres. En 1991, il entreprit de mieux discerner les relations entre éthiques séculière et religieuse, en gardant la même orientation de pensée, mais en s'attaquant à l'idéologie d'un humanisme athée. Il cherche à établir sur les bases d'une rationalité universelle un « cadre de référence neutre », (...) commun à l'ensemble des partenaires du débat éthique contemporain, mais qui laisserait la place à une pluralité de visions philosophiques, religieuses et morales. Car ce serait ruiner toute éthique que de vouloir fonder la bioéthique sur le seul recours au consentement libre et éclairé du malade et sur le respect de son autonomie, à l'exclusion de toute recherche de « buts transcendants ». – La pensée d'Engelhardt n'est pas exempte d'ambiguïtés sinon de contradictions : il ne dit pas comment son humanisme séculier donnera satisfaction aux partisans des éthiques religieuses ni quel sera le statut institutionnel de ce cadre de référence commun ni quelle issue il propose entre le nihilisme et le relativisme moral ni sur quelle base pourrait se faire une hiérarchisation des valeurs dans une bioéthique séculière. Sa pensée devrait se prolonger en direction des droits de l'homme, mieux distinguer entre principes premiers et principes dérivés, creuser davantage le concept de subjectivité.In 1986 H. T Engelhardt justified the autonomy of bioethics as regards religious ethics by starting with the fact that people in our day are “moral strangers” in regard to each other. In 1991 he studied further the relations between secular and religious ethics while keeping the same line of thougbt, but in attacking the ideology of atheistic humanism. He is trying to establish, on the basis of a universal rationality, a “neutral framework “ that would be shared by all those debating contemporaneous ethics. It would leave room for a plurality of philosophical, religious, and moral visions, For it would destroy all ethics if one wished to base bioethics only on trying to get a free and enlightened agreement from the patient and on the respect of his autonomy, in exclusion of every search.for « transcendental ends ». The thougbt of Engelhardt is not free from ambiguities, if not contradictions: he doesn't say how his secular humanism will give satisfaction to the supporters of religious ethics; nor what the institutional status of tbis common framework would be; nor what he proposes as the way out between nihilism and moral relativism; nor on what basis a hierarchy of values could be created in secular bioethics. His ideas call for further reflection : found etbics on the rights of man; distinguish more clearly between first principles and principles that are derived ; and dig deeper into the concept of subjectivity. (shrink)

Study on social consciousness in the works of Malayāḷasvāmi, 1865-1962, philosopher of Vedanta.

In the introductory chapter of his essay on Utilitarianism, John Stuart Mill says his aim is to contribute towards the understanding of utilitarianism and towards ‘such proof as it is susceptible of’. He immediately adds that ‘this cannot be proof in the ordinary and popular meaning of the term’ because ‘ultimate ends are not amenable to direct proof’. A proof that something is good has to show that it is ‘a means to something admitted to be good without proof’. But, (...) he goes on, this does not imply that a formula of ultimate ends can only be accepted on ‘blind impulse, or arbitrary choice’. It can be rationally discussed and subjected to proof in a wider sense of that word. ‘Considerations may be presented capable of determining the intellect either to give or withhold its assent to the doctrine; and this is equivalent to proof.’. (shrink)

This paper presents a new formal model for D–N explanation that gives intuitive criteria of acceptability, avoids the known trivializations, and links explanation with confirmation theory. Although set in the twenty-five year tradition of attempts to formalize D–N explanation, it proposes a new direction for the model that is to be distinguished from the syntactical and informational approaches by its introduction of restrictions which derive from the use which the D–N model can have in hypothesis testing. This model, illustrating the (...) verificational approach, revises the classic H–O requirements and amends the notion of partial self-explanation to meet a criticism to which the H–O notion is vulnerable. (shrink)

Revisiting African philosophy’s classic questions, D. A. Masolo advances understandings of what it means to be human—whether of African or other origin. Masolo reframes indigenous knowledge as diversity: How are we to understand the place and structure of consciousness? How does the everyday color the world we know? Where are the boundaries between self and other, universal and particular, and individual and community? From here, he takes a dramatic turn toward Africa’s current political situation and considers why individual rights and (...) freedoms have not been recognized, respected, demanded, or enforced. Masolo offers solutions for containing socially destructive conduct and antisocial tendencies by engaging community. His unique thinking about community and the role of the individual extends African philosophy in new, global directions. (shrink)

L’Instauration philosophique (1939) is one of the most relevant philosophical works by Étienne Souriau. In this book, the French philosopher tries to outline the main laws which define the instauration of a philosophical theory, in order to construct a philosophy of philosophies. Pleroma is one of the key-concepts of this work, and it refers to the dimension that includes all the well-established philosophical perspectives. The aim of this paper is to reconstruct some issues connected to this work, regarding specifically the (...) notion of pleroma. The paper underlines the connection between L’instauration philosophique and the philosophical milieu in which it was written, and then stresses the relevance of artworks and aesthetics for Souriau’s idea of instauration. The paper deals with the architecture of pleroma, and finally examines some similarities and some differences between the pleroma and Leibniz’s Monadology. (shrink)

Lawrence Weschler, A Miracle, A Universe: Settling Accounts with Torturers New York: Pantheon, 1990, ix + 293 pp.

La notion d’« amour » apparaît sous la plume de Levinas dans divers contextes et à des moments différents de l’œuvre : de « l’amour sexuel » désigné comme origine du social à l’« amour » qui nommerait mieux encore la responsabilité infinie pour autrui que le vocable « éthique », en passant par l’Eros décrit en particulier dans Le temps et l’autre (TA) puis dans Totalité et Infini (TI), c’est peu dire que la notion renvoie à des significations sensiblement (...) différentes, au point que le lecteur... (shrink)

A three-valued propositional logic is presented, within which the three values are read as ?true?, ?false? and ?nonsense?. A three-valued extended functional calculus, unrestricted by the theory of types, is then developed. Within the latter system, Bochvar analyzes the Russell paradox and the Grelling-Weyl paradox, formally demonstrating the meaninglessness of both.

" -- Africa Today "The excellence of this book lies in the wealth of perspectives that it brings to the discussion on what constitutes philosophy, rationality, ...

In debates about criteria for human death, several camps have emerged, the main two focusing on either loss of the "organism as a whole" (the mainstream view) or loss of consciousness or "personhood." Controversies also rage over the proper definition of "irreversible" in criteria for death. The situation is reminiscent of the proverbial blind men palpating an elephant; each describes the creature according to the part he can touch. Similarly, each camp grasps some aspect of the complex reality of death. (...) The personhood camp, in contrast to the mainstream "organism" camp, recognizes that a human organism can still be a biological living whole even without brain function. The mainstream camp, in contrast to the personhood camp, recognizes that a person can be permanently, even irreversibly unconscious, and still be a living person so long as his/her body is alive. The author proposes that hylomorphic dualism incorporates both these key insights. But to complete the picture of the entire "death elephant," a fundamental paradigm shift is needed to make sense of other seemingly conflicting insights. The author proposes a "semantic bisection" of the concept of death, analogous to the traditional distinction at the beginning of life between "conception" and "birth." To avoid the semantic baggage associated with the term "death," the two new death-related concepts are referred to as "passing away" (or "deceased") and "deanimation," corresponding, respectively, to sociolegal ceasing-to-be (mirror image of birth) and ontological/theological ceasing-to-be of the bodily organism (mirror image of conception). Regarding criteria, the distinguishing feature is whether the cessation of function is permanent (passing away) or irreversible (deanimation). If the "dead donor rule" were renamed the "deceased donor rule" (both acronyms felicitously being "DDR"), the ethics of organ transplantation from non–heart-beating donors could, in principle, be validly governed by the DDR, even though the donors are not yet ontologically "deanimated." Thus, the paradigm shift satisfies both those who insist on maintaining the DDR and those who claim that it has all along been receiving only lip service and should be explicitly loosened to include those who are "as good as dead." Even so, a number of practical caveats remain to be worked out for non–heart-beating protocols. (shrink)